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02 février 2013

Comment voulez-vous que j'oublie...

Comment voulez-vous que j'oublie... Madeleine et Léo Ferré 1950/1973

Annie Butor

Phébus

15 avril 2013

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Commentaires

Madeleine a joué un grand rôle dans la "Naissance artistique", dans les années 50, de Léo Ferré. Découvrir l'histoire racontée par Annie, qui a partagée toutes ses années, sera surement passionnant.
Une réédition de "Mémoires d'un magnétophone" de Madeleine serait également bienvenue en cette année Ferré.
Est-ce que les droits appartinent à Annie Butor?

Écrit par : Claude-Alain Frund | 06 mars 2013

Pour ceux qui voudraient revoir l'émission Grand Public du 11/04/2013 sur Pluzz : "La polémique : Léo Ferré, le mythe attaqué" consacrée entre autre au livre d'Annie Butor

Écrit par : christian | 12 avril 2013

Un livre souvent à charge. Des évocations (allusives) de Marie-Christine FERRE pas très aimables et déplacées.
Va-t-on assister à la création d'un comité de soutien aux gens de maison?

Écrit par : Luis Miguel VALLEJO | 14 avril 2013

Pas encore lu le livre, mais il semble que l'on soit plus proche du règlement de compte que d'une mise en lumière de la relation entre Léo et Madeleine.
Peu de choses nouvelles et suite à l'émission "grand public" un arrière plan de bataille de sous.
Dommage.

Écrit par : Claude-Alain Frund | 14 avril 2013

Lu quelques interviews de l'auteure dans la presse belge, et quelques comptes rendus dans la presse française. Impressions nauséeuses. Cela sent le poisseux déballage. Mais dans quelle mesure n'est-ce pas le fait des journaloustics plutôt que celui de MME Butor, allez savoir . La lecture du livre répondrait à cette question. Mais je m'en abstiendrai. Quoiqu'il en soit, c'est principalement aux proches de Léo que je pense, avec tristesse...

Écrit par : Eric | 17 avril 2013

Souvenons-nous des paroles de Léo : "il n'y a pas d'idoles. L'idolâtrie est littéraire ou imbécile. Il n'y a que des hommes, et encore...Il y a la vie, et puis la mort. C'est tout". Ce livre nous ramène à Léo en tant qu'homme et comme tout homme avec ses qualités et ses défauts. Ce livre se veut avant tout un portrait intime de Léo avec cette immense passion pour Madeleine et sa fille Annie, ses colères, ses tendresses, et puis cette rupture cataclysmique qui se transformera en haine : les photos de Madeleine disparaîtront de toutes les rééditions de disques et l'on oubliera le rôle qu'elle avait joué auprès de Léo. Annie Butor fait revivre fort justement cette période charnière de la vie de Léo. Ce livre qui n'est pas un réglement de compte comme les médias se plaisent à le dire doit se comprendre comme le regard d'une petite fille au coeur d'un immense amour et qui finira par l'exclure. Aucun enfant ne sort indemne d'une séparation de ses parents. Léo et Madeleine étaient un couple hors-norme : les blessures n'en seront que plus vives et difficiles à cicatriser.
Avant de faire des procès d'intention, lisez ce livre qui vous touchera et qui s'il égratigne par moments Léo nous le rend magnifiquement humain et aimant.

Écrit par : Pascal | 24 avril 2013

Et oui, il faut se méfier des premières impressions données par le commentaires de présentation. J'ai abordé la lecture avec passablement de méfiance.
Je suis tombé dans un livre poignant et magnifique, écrit avec .beaucoup de retenue et de pudeur.
Alors grand respect pour l'auteure; si le portrait de Ferré y est parfois cru comment ne pas comprendre que, placée dans cette situation, Annie Butor veuille replacer Madeleine à sa juste place.

Écrit par : Claude-Alain Frund | 29 avril 2013

Et à quelle place se trouve, par exemple, placée Marie-Christine?

Écrit par : Luis Miguel VALLEJO | 30 avril 2013

Quelques remarques (extraites d’une critique plus longue)

À propos de la prétendue malveillance de Léo Ferré à l’égard de ses confères, notons que ceux qui l’ont fréquenté depuis 1968 s’inscrivent en faux à ce sujet. Il avait, du reste, formulé le souhait de faire un spectacle en compagnie de Brassens et de Brel lors de leur fameuse rencontre. Si ce projet ne s’est pas réalisé, ce n’est pas de son fait.

Quant aux chanteuses qui transformaient les textes, elle fait une erreur en « accusant » Cora Vaucaire d’avoir modifier La complainte de Rutebeuf, il s’agit d’une autre chanteuse, preuve que la mémoire n’est pas toujours fiable…

De 1968 à 1993 soit 25 ans, elle ne le côtoie plus et avance alors des « on dit »… et se permet des remarques offensantes et mesquines sur ses proches. En parlant de ses trois enfants, elle ne dit pas sa descendance mais sa succession… Choix ou lapsus ?

On peut comprendre qu’elle veuille rendre justice à sa mère, qu’elle est choquée du fait que Léo élimine son nom et des souvenirs précis dans les textes mais c’est là sa liberté d’homme et son droit d’artiste.

Il est ironique de constater que dans ce livre la reliure escamote Madeleine dans la page double qui précède la page 161, sans que Léo en soit responsable, à moins que…

Écrit par : brogniart | 04 mai 2013

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