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26 octobre 2020

Avis de recherche

A propos, dans L'âge d'or, du CD Léo Ferré en public 1966...

Deux dates d'enregistrement sont données, les 22 février et 3 juillet. La fiche INA lue par ailleurs évoque deux dates de diffusion, les 7 et 14 août. Ces dernières semblent plus plausibles que les deux autres. On entend dans la deuxième émission la reprise de la présentation de Bérimont, la même voix féminine qui présente chaque titre, les mêmes accompagnements... Bérimont annonçait une première, Ferré et Madeleine ensemble en concert. A 5 mois d'intervalle pour la deuxième partie ?

Qui en sait plus, qui était présent à ce concert Ferré et les poètes en 25 titres ?

Commentaires

J'ai soulevé ce point avec Alain Raemackers, mais ça fait partie des choses qui sont passées à la trappe, faute de coordination véritable. Selon moi, il s'agit d'une seule soirée en deux parties (Madeleine porte deux robes différentes), diffusées en deux temps.

Écrit par : Alaric P. | 26 octobre 2020

ça semble assez évident...
Tu as des photos ? Une vidéo ?
Pourquoi deux titres de ce concert ont sauté ?
Le Pont Mirabeau est une mauvaise fin.
Alors que Les poètes de sept ans en rappel...

Écrit par : françois | 26 octobre 2020

je vois sur le site que les deux titres n'étaient "pas convaincants".
Curieux !
Je me répète : d'avoir enlevé Les poètes de sept "déséquilibre" le concert.
Je ne trouve pas "convaincant" de clore sur Le Pont Mirabeau.
Passons...

Écrit par : françois | 26 octobre 2020

Groote a photographié les répétitions et le concert, mais je ne suis pas autorisé à faire circuler ces photos. J'ai proposé une couverture alternative pour le CD concerné, avec une de ces photos, mais ça n'a pas été retenu (les photos des CD bonus ne correspondent pas du tout aux concerts proposés, soit dit en passant).

Les deux titres écartés sont Ô triste, triste était mon âme et Les Poètes de sept ans, tous deux chantés sur bande. Les avoir écartés peut se justifier éditorialement (ces interprétations n'apportent rien et Ferré plante le texte à plusieurs reprises) mais ne pas l'avoir mentionné dans le livret est une faute. C'est pas faute de l'avoir signalé, pour ma part.

Écrit par : Alaric P. | 01 novembre 2020

Pas question de chipoter, le coffret est magnifique.
Mais ce concert de 1966 au studio 102 pose, à nouveau, le traitement des archives.
On comprend le bout à bout du disque.
Mais, d'accord avec toi, il fallait indiquer ces deux coupes, signaler, peut-être, les textes dits par Madeleine - c'est catastrophique mais il y avait une incursion chez Corbière à laquelle Ferré n'était pas étranger, essayer de chercher la raison d'être de ce concert duo qui ne sera, je crois, jamais réitéré -, d'autres détails. Et s'accorder sur le titre de l'émission de Bérimont - page 32, La fine fleur de la chanson française, page 51, Jam Session, le bon titre.
Encore une fois remarques, non pour pinailler, mais être au plus près de l'Histoire.

Écrit par : françois | 02 novembre 2020

François, je t'invite à faire remonter tes remarques et correctifs à Mathieu ; cela le sensibilisera à l'absolue nécessité d'une relecture/harmonisation finale avant fabrication (encore une fois, celle-ci a été zappée). Cela appuierait mon plaidoyer pour un contrôle qualité plus rigoureux. Ceci pour les prochains coffrets, et peut-être un éventuel retirage des deux premiers...

Écrit par : Alaric P. | 03 novembre 2020

Bien sûr, ça passera par un article dans le prochain Copains.
C'est vrai qu'un dernier regard, une dernière lecture, amélioreraient le travail.
Cette Intégrale est si belle, tellement utile qu'il est dommage de l'écorcher ici et là.
C'est un devoir de mémoire, un devoir de Ferré.
Continuez le travail et vivement 1968-1974...
Nos félicitations neuillennes aux maîtres d'oeuvre et aux "petites mains"...

Écrit par : françois | 03 novembre 2020

Les commentaires sont fermés.